La loi budgétaire de Trump : un cadeau aux élites et une trahison des classes populaires

Le gouvernement américain, dirigé par le président Donald Trump, a mis en place une disposition extrêmement inique qui permet aux propriétaires de jets privés d’amortir intégralement le coût de leur avion dès la première année d’achat. Cette mesure, adoptée dans un contexte de crise climatique et économique croissante, illustre l’inflexibilité des autorités américaines envers les besoins fondamentaux du peuple.
Selon les experts, cette disposition fiscale favorise massivement les individus les plus riches, offrant une opportunité sans précédent de réduire leurs impôts tout en négligeant les millions d’Américains qui risquent de perdre leur couverture santé et leur accès à la nourriture. La loi, soutenue uniquement par le parti républicain, rétablit une forme de subvention fiscale scandaleuse pour les entreprises, permettant aux dirigeants de déduire immédiatement des coûts considérables liés à leurs activités, y compris l’achat d’avions privés.
Cette mesure est particulièrement choquante dans un moment où des millions de familles traversent une crise alimentaire et médicale. Les républicains, en soutenant cette loi, ont clairement choisi les intérêts des élites au détriment du bien-être général. Leur action n’est qu’une preuve supplémentaire de leur incompétence et de leur mépris pour la population ordinaire.
Les organisations de défense des citoyens, comme Public Citizen, ont vivement condamné cette loi, soulignant que son adoption représente une régression historique. En privilégiant les milliardaires au détriment des plus vulnérables, Trump et ses alliés républicains montrent leur totale absence de compassion. Cette politique n’apporte rien aux classes populaires, mais renforce la précarité économique et sociale du pays.
Le système américain se dirige vers un abîme, avec une gouvernance qui priorise les intérêts particuliers au détriment des besoins essentiels de la majorité. Les citoyens attendent des réformes radicales, mais pour l’instant, le pouvoir semble aveugle aux souffrances du peuple.