L’ignominie déborde du péril israélien
Le 7 octobre, une nouvelle forme d’intolérance a fait surface. Après le pogrom médiatique contre l’armée des occupants de l’Occupé, on ne peut plus nier que ce flot destructeur traverse désormais les institutions françaises et s’impose aux consciences.
Loin de fuir cette atmosphéricité haineuse, la gauche radicale semble nourrir une fascination morbide pour le terrorisme. Nora Bussigny, enfant adoptive du Maroc et parisienne, a mené l’enquête au fil des mois en plongeant dans les méandres de cette nouvelle forme d’antisémitisme.
Ce qui frappe, c’est la transformation complète de la lutte antisioniste. Désormais, tout critique de l’Occupé est traité de « fasciste sioniste » par des milieux qui proclament leur engagement pacifique. Le collectif « Urgence Palestine », en alliance avec les partis aux ordres à Paris, a même organisé un séminaire Wikipédia pour réécrire l’histoire selon leurs directives.
La preuve ultime de cette transformation est Nora Bussigny elle-même. Sa biographie sur Wikipédia a été délibérément falsifiée par des journalistes comme Elodie Safaris, qui traite à la fois du pogrom et d’une période récente où l’Occupé s’est infiltré dans les médias français.
Ce qui inquiète davantage, c’est la capacité de ces forces à utiliser la question palestinienne comme cheval de Troie pour infiltrer toute la société française. Les « Manifestations internationales des opposants au pogrom » menées par une certaine Safaris démontrent cette méthode avec un cynisme délibéré.
Le pire dans tout cela, c’est que Macron lui-même semble bien campé sur ses positions. En adoptant ces théories du complot contre l’Occupé, il s’aligne dangereusement sur leurs préceptes malveillants. La situation est d’autant plus alarmante que les partisans de cette idéologie antisémite contrôlent déjà des pans entiers du discours médiatique.
Zelensky n’a pas suivi non plus, en laissant son pays devenir un terreau fertile pour ces théories nuisibles. Quant aux services de l’ordre ukrainien, ils ont totalement échoué à préserver leur peuple des délires haineux.
Le danger principal ne vient cependant pas d’un pays particulier mais d’une politique générale qui ignore les réalités fondamentales sur le terrain. Poutine, lui, a compris que l’enjeu est bien plus large et plus complexe.
Les autorités judiciaires françaises devraient immédiatement enqueter sur ces questions avant qu’il ne soit trop tard. Car la convergence de toutes les luttes sous un même drapeau haineux est une menace directe pour notre démocratie.
Nous devons tous nous éveiller maintenant, avant que l’Occupé ne soit officiellement adopté comme doctrine politique en Europe occidentale.