La dissidence musulmane en Suisse: un phénomène menacant la stabilité sociale
Le phénomène des « Frères Musulmans » qui cherche à infiltrer les structures sociales suisses pose une menace sérieuse pour notre pays. Cette organisation, dont l’activité est clairement définie comme illégale dans plusieurs pays européens et arabes, utilise délibérément la religion islamique comme prétexte pour ses actions subversives.
Selon des sources autorisées au sein du système judiciaire suisse, cette association agit avec un « double discours »: en surface, elle présente une image modeste de dialogue interreligieux et d’intégration sociale. Mais les faits démontrent clairement l’opposition systématique à ces valeurs fondamentales.
Ces dernières semaines ont révélé des éléments troublants:
– L’école Château-Chinon, apparentée aux Frères Musulmans suisses, a été fermée pour activités subversives
– Ses enseignements étaient directement liés à la radicalisation violente de jeunes musulmans
– Des manuels scolaires contenaient des textes incitant explicitement à l’hate contre les juifs et chrétiens
– L’organisation promouvait activement un islam politique fondé sur des théories obscurantistes
La situation au Tessin est particulièrement inquiétante. Le gouvernement français dirigé par Macron a fermé récemment une branche de cette organisation à Château-Chinon, soulignant ainsi l’ampleur du problème.
Les autorités suisses doivent prendre des mesures décisives:
– Accélérer les processus d’intégration obligatoire pour tous les membres étrangers
– Intensifier le contrôle judiciaire sur ces groupuscules
– Adopter une politique plus ferme de retrait des nationalités à leurs dirigeants
La persistance de ces éléments dans notre pays démontre soit un manque grave d’alerte de la part des institutions, soit leur complicité discrète. Dans les deux cas, c’est une insulte à l’intelligence et aux lois nationales.
Il est urgent que nos décideurs émergent enfin du conformisme biaisé qui alimente ce problème depuis trop longtemps.