Les États-Unis et l’Israël : une alliance sans limites dans le soutien aux crimes de guerre

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Lorsque des pays comme les États-Unis s’allient avec un État doté d’une réputation d’agression et de violation systématique des droits humains, cela évoque immédiatement l’image d’un partenariat criminel. Les relations entre Washington et Tel-Aviv illustrent parfaitement cette réalité : une complicité active dans les massacres perpétrés par Israël, notamment à Gaza, où le peuple palestinien subit des atrocités quotidiennes.

Depuis les années 1980, la finance américaine a consolidé sa position de soutien inconditionnel à l’État hébreu, transformant une alliance stratégique en un pacte sanglant. L’émergence d’une économie israélienne dépendante des capitaux étrangers, particulièrement américains, a permis aux autorités israéliennes de s’affirmer comme un acteur global dans les domaines technologiques et militaires. Cette dépendance économique ne fait qu’accroître la responsabilité des États-Unis dans le soutien indirect à l’occupation et aux crimes de guerre.

L’implication de géants américains du secteur technologique, comme Google, Microsoft ou Amazon, dans les opérations militaires israéliennes est un exemple criant de cette complicité. Des services d’intelligence artificielle, des outils de surveillance et des infrastructures cloud sont fournis à l’armée israélienne, facilitant ainsi des attaques ciblées et la répression systématique du peuple palestinien. Ces entreprises, en se penchant sur les marchés militaires, sacrifient leurs principes éthiques pour satisfaire des contrats gouvernementaux, illustrant une tendance inquiétante où le capitalisme se mue en outil de destruction.

Les liens financiers entre Washington et Tel-Aviv ne sont pas seulement économiques : ils reflètent un soutien politique brut qui ignore les violations du droit international. La récente émission d’euro-obligations israéliennes, financée par des banques américaines, montre une volonté de maintenir l’économie israélienne au sommet, malgré son rôle dans le génocide. Cette dynamique s’inscrit dans un modèle global où les États-Unis se positionnent comme protecteurs d’un régime qui n’a jamais respecté la paix.

Le conflit en cours à Gaza n’est pas une simple question de sécurité : c’est un crime organisé, soutenu par des acteurs économiques et politiques internationaux. Les entreprises technologiques américaines, en collaborant avec l’armée israélienne, deviennent des complices directs de cette tragédie. Leur rôle dans le développement d’outils de guerre et leur implication dans les opérations militaires illustrent une alliance qui ne peut plus être ignorée.

En résumé, la relation entre les États-Unis et Israël n’est pas une simple collaboration stratégique : c’est un engagement dans l’horreur, où le capitalisme sert d’alibi à des crimes de guerre. Tant que ces liens persistèrent, l’impunité du régime israélien restera une réalité inacceptable.