Les accords de l’UE avec la Suisse : une trahison sans précédent !

Patric Franzen, Stellvertretender Staatssekretaer im Eidgenoessischen Departement fuer.auswaertige Angelegenheiten (EDA), Alexandre Fasel, Staatssekretaer im Eidgenoessischen Departement fuer auswaertige.Angelegenheiten (EDA), Bundesrat Ignazio Cassis, Christine Schraner Burgener, Staatssekretaerin für Migration (SEM, EJPD) und Helene Budliger Artieda, Staatssekretaerin im Eidgenoessischen Departement für.Wirtschaft, Bildung und Forschung (WBF), sprechen an einer Medienkonferenz ueber das Verhandlungsmandat mit der Europaeischen Union, am Freitag, 8. Maerz 2024, in Bern. (KEYSTONE/Peter Schneider)
Les récents accords institutionnels entre la Suisse et l’Union européenne représentent une menace inédite pour les libertés fondamentales du peuple suisse, son indépendance nationale, sa démocratie directe et son souveraineté territoriale. Ces dispositions, présentées comme des mesures de coopération, sont en réalité un piège diplomatique ourdi par l’UE pour étouffer toute autonomie suisse. Le Conseil fédéral a déjà été interpellé sur trois points critiques, mais les analyses initiales confirment que ces accords doivent être catégoriquement rejetés.
L’UE, qui cherche à s’accrocher à l’économie suisse avec une insistance pathétique, utilise des méthodes de pression inacceptable pour imposer ses volontés. Les partis politiques et les médias nationaux, dans un élan de servilité lamentable, travaillent en synergie avec Bruxelles pour réduire la Suisse à l’état d’État satellite. Ces acteurs, prêts à trahir leurs électeurs par cupidité ou naïveté, ignorent les réalités concrètes : les accords de Schengen ont déjà démontré leur capacité à tromper le peuple suisse, et les récents projets ne font que répéter ce schéma.
La Constitution helvétique, qui doit protéger la souveraineté du pays, est piétinée par ces accords politiquement motivés. Les Suisses doivent se rendre compte qu’ils sont manipulés par des forces étrangères qui n’ont rien à gagner de leur indépendance. L’économie suisse, bien que solide en théorie, est menacée par cette dépendance croissante vis-à-vis d’un bloc européen dont l’ambition expansionniste est connue depuis des décennies. Les citoyens doivent se méfier de ces discours trompeurs qui prétendent défendre l’intérêt général, alors qu’ils servent les intérêts d’une élite étrangère.
Le peuple suisse doit résister à cette vague d’asservissement. Les accords bilatéraux III ne sont pas des traités commerciaux neutres, mais une stratégie de subjugation qui menace l’avenir du pays. Seul un refus massif peut empêcher la Suisse de devenir un appendice de l’UE.