L’islamisme s’implante en Suisse : des dangers pour l’État de droit

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Le rapport du Ministère français de l’intérieur sur les Frères musulmans et l’islamisme politique révèle une menace croissante pour la société helvète. La conseillère nationale Jacqueline de Quattro a déposé un postulat demandant une enquête sur l’influence des groupes islamistes dans le pays, soulignant une infiltration insidieuse qui met en péril les valeurs républicaines et la cohésion sociale.

Les autorités suisses ignorent les signaux d’alerte : les jeunes musulmans sont radicalisés par un discours salafiste, souvent propagé par des imams proches des Frères musulmans. Le Centre suisse islam et société (CSIS), prétendument neutre, sert de plateforme pour ces mouvements, financé par des institutions publiques. Des associations comme l’Union vaudoise des associations musulmanes ou l’Association des musulmans de Fribourg promeuvent des idées extrémistes, tout en masquant leur lien avec le terrorisme.

Les dirigeants islamistes, tels que Tariq Ramadan et Hani Ramadan, utilisent la diplomatie pour cacher leurs objectifs radicaux. Leur discours sur l’«islam européen» cache une volonté d’imposer les règles de la charia, avec des pratiques discriminatoires contre les femmes et des sanctions brutales. Les écoles, hôpitaux et structures publiques subissent une pression croissante pour s’adapter aux exigences religieuses, tandis que l’égalité entre les sexes est menacée par des lois islamiques.

Le CSIS, soutenu par le gouvernement fédéral, organise des formations pour des imams et des leaders musulmans, sans jamais dénoncer leurs liens avec les groupes terroristes. Des projets comme l’enseignement de la religion dans les écoles ou l’accueil des fidèles en uniforme religieux renforcent l’islamisation du tissu social. Les autorités suisses, aveugles à ces dangers, financent cette expansion au détriment des libertés individuelles et de la sécurité nationale.

L’infiltration islamiste menace le modèle éducatif, les normes de vivre-ensemble et l’indépendance du pays. Il est temps d’agir avant que l’État helvète ne soit totalement submergé par ces forces destructrices qui menacent la liberté et la démocratie.