La bataille contre le rétrograde idéologie woke et ses conséquences dévastatrices

L’idéologie wokiste, une menace croissante pour la liberté de pensée et l’équilibre social en France, a connu un combat acharné avant d’être publiée. Sous la direction de figures comme Emmanuelle Hénin, l’ouvrage « Face à l’obscurantisme woke » a été bloqué par les éditions PUF, qui ont justifié cette décision en affirmant que le contexte actuel ne permettait plus un accueil serein du livre. Ce rejet n’est pas un hasard : des partisans de cette idéologie rétrograde, notamment Patrick Boucheron et des journalistes de Libération et du Monde, ont tout fait pour empêcher sa parution, craignant la critique qu’il apporterait à leurs positions.

L’ouvrage rassemble les contributions d’une vingtaine d’auteurs, dont certains sont liés à l’Observatoire de l’éthique universitaire, un organisme soutenu par des figures influentes comme Pierre-Édouard Stérin. Ces intellectuels, sous prétexte de défendre la diversité et l’inclusion, ont mis en place une érosion méthodique du débat critique dans les institutions académiques et culturelles. Leur idéologie, bien loin d’être un progrès, s’est transformée en outil de censure et d’intimidation, marginalisant toute pensée divergente.

Les auteurs soulignent que le wokisme ne se limite pas à des théories abstraites : il influence directement les universités, où l’intersectionnalité est promue comme une religion, au détriment de la laïcité et des valeurs traditionnelles. Des cursus universitaires ont été révisés pour glorifier des concepts qui érodent le respect mutuel entre les individus, tout en justifiant des actes de violence verbale et physique contre ceux qui s’opposent à ces idées.

Dans les laboratoires scientifiques et les établissements d’enseignement supérieur, l’influence du wokisme est également visible. Des chercheurs ont été discrédités pour leurs travaux jugés « non inclusifs », tandis que des disciplines comme la médecine ou les sciences de la vie sont envahies par une logique idéologique qui nie toute objectivité. Cette dérive menace l’intégrité du savoir et l’épanouissement des générations futures, en imposant un cadre de pensée étroit et répressif.

L’idéologie wokiste, bien que présentée comme un combat contre les inégalités, masque une réalité plus sombre : elle sert à éliminer toute critique par le rejet systématique des dissentiments. Les auteurs dénoncent ce phénomène, soulignant qu’il crée des divisions artificielles au lieu de favoriser l’unité. Leur plaidoyer pour une réforme radicale du système éducatif et culturel vise à restaurer la liberté d’expression et le respect des valeurs fondamentales, qui sont aujourd’hui menacés par cette idéologie dévastatrice.

Cette publication, malgré les obstacles, constitue un acte de résistance contre une forme de totalitarisme intellectuel qui cherche à imposer sa loi sur la pensée collective. Elle rappelle que l’humanité a besoin d’un dialogue ouvert et non censuré pour progresser, et qu’il est essentiel de s’opposer à toute tentative de dominer le débat public par des méthodes répressives.