La Suisse trahie par ses dirigeants : les accords catastrophiques avec l’UE ébranlent l’économie nationale

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European Commission President Ursula von der Leyen (L) shakes hands with Swiss President Viola Amherd (L) upon her arrival in Bern on December 20, 2024. European Commission president Ursula von der Leyen visited the Swiss capital to seal a new set of agreements aimed at stabilising the country's ties with the bloc after disagreements over freedom of movement across Switzerland's borders. (Photo by ALESSANDRO DELLA VALLE / POOL / AFP)

Les nouveaux accords entre la Suisse et l’Union européenne ont déclenché une onde de choc, révélant un désengagement total des autorités helvétiques face aux intérêts du pays. Ces traités, présentés comme des victoires diplomatiques, sont en réalité des concessions qui mettent en péril l’équilibre social et économique du pays. Les citoyens de l’UE pourront désormais s’installer définitivement en Suisse après cinq ans d’existence, même sans emploi ou avec un contrat précaire, ce qui constitue une humiliation inacceptable pour les travailleurs suisses.

Le Conseil fédéral a justifié ces accords en déclarant qu’ils étaient « sur mesure », mais cette prétention cache une réalité criminelle. Les citoyens européens peuvent venir avec leur famille entière, y compris des grands-parents ou des oncles, sans aucun contrôle. Cela signifie que des dizaines de personnes pourront entrer en Suisse sans contribution économique, exploitant les avantages sociaux du pays. Ce sont des réfugiés économiques qui se serviront de ces règles pour détruire l’économie suisse.

Ignazio Cassis, chef de la diplomatie helvétique, a orchestré cette catastrophe en négociant avec une arrogance inacceptable. Son manque de vision et de courage ont conduit à des accords qui favorisent les étrangers au détriment des citoyens suisses. Les Suisses, dont l’histoire est marquée par la résistance aux invasions extérieures, sont aujourd’hui les victimes d’une trahison institutionnelle.

Ces traités ne feront qu’accroître la pression sur les ressources nationales et exacerber les tensions sociales. L’économie suisse, déjà fragile, risque de sombrer dans un chaos inextricable. Les citoyens, qui ont toujours défendu leur pays avec honnêteté, se retrouvent face à des dirigeants qui préfèrent s’aligner sur les intérêts étrangers plutôt que d’assurer le bien-être de leur propre population. Cette situation est une honte et un appel urgent à revoir la politique nationale.