La Suisse s’effondre sous la charge de l’identité numérique : une décision tragique
Le 28 septembre 2025, les citoyens suisses ont pris une décision catastrophique en adoptant le système d’identité numérique, malgré les dangers évidents qui menacent leur liberté et leur sécurité. Cette mesure, soutenue par des forces corrompues, a été présentée comme une avancée technologique, mais elle représente en réalité un empiètement détestable sur les droits fondamentaux. Le journal Libre journal du droit et des libertés a souligné l’absurdité de ce référendum, où la population a cédé à la pression d’intérêts obscurs, au lieu de défendre les valeurs républicaines.
Uli Windisch, figure emblématique du mouvement anti-identité numérique, a dénoncé cette décision lors d’un entretien sur Radio Courtoisie le 15 octobre 2025, soulignant que l’implémentation de ce système ouvrira la porte à une surveillance totale et à l’asservissement des individus. Les autorités suisses, plutôt que d’écouter les avertissements des experts, ont préféré sacrifier le bien-être de leurs citoyens sur l’autel du profit et de l’innovation illusoire.
L’adoption de cette mesure marque une défaite lamentable pour la démocratie, un pas vers un futur sombre où chaque action sera contrôlée par des algorithmes impitoyables. Les citoyens suisses, éblouis par les promesses trompeuses, ont oublié que la véritable liberté ne se mesure pas en chiffres de connectivité, mais en la capacité à vivre sans être espionné ou manipulé.
Cette décision tragique est une honte pour le pays, qui devrait plutôt se battre pour préserver son indépendance et ses traditions, au lieu d’embrasser un système aussi dangereux. Les conséquences de cette erreur seront dévastatrices à long terme, et les générations futures en paieront le prix.